Les intervenants de AI 2023
Jean-Baptiste Woillard
CHU de Limoges
Jean-Baptiste Woillard
CHU de Limoges
Dans cette présentation, Dr. Woillard présentera le développement d’un réseau de neurones de type Long Short Term Memory (LSTM) particulièrement adapté aux données longitudinales.
Dr. Woillard et son équipe l’appliquerons à la prédiction du DFG post transplantation à un temps horizon de 1 an à partir des données de DFG précédentes. Ils présenterons également l’application de l’algorithme SimplEx (basé sur un corpus de patients similaires) pour améliorer l’interprétabilité de notre LSTM.
Laurence Dubel
Astellas Pharma, Paris
Laurence Dubel
Astellas Pharma, Paris
“L’apport de l’intelligence artificielle dans l’épidémiologie de la MRC : étude DAKOTAH”
Nicolas Maillard
CHU de Saint-Etienne
Nicolas Maillard
CHU de Saint-Etienne
“Néphropathie IgA et Intelligence Artificielle”
Pierre-Antoine Gourraud
Nantes Université, INSERM – UMR 1064, CR2Ti & CHU de Nantes
Pierre-Antoine Gourraud
Nantes Université, INSERM – UMR 1064, CR2Ti & CHU de Nantes
“Repenser la production des données de santé”
Pierre-Antoine Gourraud est professeur des universités, praticien-hospitalier de la faculté de médecine de Nantes Université (France). C’est un ancien élève de l’école Normale Supérieure de Lyon (France) du département de biologie. Arrivé comme chercheur post-doctorant du département de neurologie à l’université de Californie (UCSF, Etats-Unis), il le quitte en tant que professeur associé en 2018.
Auteur de plus de 160 publications et cité plus de 10600 fois (h-index 54), ses activités de recherche se positionnent au carrefour de l’immunologie, de la génétique et du traitement informatique des données de santé. Proche du monde entrepreneurial, il accompagne à ce jour plusieurs entreprises en santé et biotechnologies en leur faisant profiter de son expertise.
Pierre Galichon
AP-HP, Paris
Pierre Galichon
AP-HP, Paris
“Lost in transcription : Découvertes à faire dans les données déjà publiées:
Jean-Baptiste Julla
AP-HP, Paris
Jean-Baptiste Julla
AP-HP, Paris
“Extraction des données à partir des dossiers médicaux de l’APHP”
Jean-Philippe Bertocchio
SKEZI, Paris
Jean-Philippe Bertocchio
SKEZI, Paris
“Quelles nouveautés dans la collecte de données ?”
Axelle Menu-Branthomme
Health Data Hub, Paris
Axelle Menu-Branthomme
Health Data Hub, Paris
Experte médicale au Health Data Hub.
Médecin expérimentée, spécialisée en information médicale et informatique en santé, le Dr Menu-Branthomme est engagée depuis plus de 20 ans pour valoriser, partager et faciliter l’accès aux données de santé, au service de l’intérêt général en France.
Elle a coordonné de nombreux partenariats multilatéraux au sein de l’AP-HP puis pour le compte de l’Etat (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) et Agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France).
Frédéric Le Pottier
Théradial, Pays de la Loire
Frédéric Le Pottier
Théradial, Pays de la Loire
“Projet Théradata”
Maxime Touzot
Owkin, Paris
Maxime Touzot
Owkin, Paris
“Tout ce que vous devez savoir sur le Federated Learning”
Cyril Aufrechter
Docteur en droit privé à l’Université Paris-Cité, Membre associé de l’Institut Droit et Santé, consultant chez onepoint
Cyril Aufrechter
Docteur en droit privé à l’Université Paris-Cité, Membre associé de l’Institut Droit et Santé, consultant chez onepoint
“Statut juridique des données de santé”
En néphrologie, et plus généralement dans le secteur médical, la valorisation des données devient un enjeu prégnant. Avec le développement des systèmes d’intelligence artificielle fonctionnant sur des techniques d’apprentissage automatique, la gestion des données médicales reste une priorité.
Afin d’optimiser leur activité, les néphrologues s’interrogent sur la valorisation de cette base de données historique. Le statut juridique de ces données devient alors important pour ces praticiens, qui ont besoin de connaître les règles leur permettant une exploitation licite de celles-ci. Ce cadre juridique sera présenté.
Cécile Crichton
Doctorante à l’Université Paris Cité, Institut Droit et Santé, Chargée d’enseignement à l’Institut Catholique de Paris
Cécile Crichton
Doctorante à l’Université Paris Cité, Institut Droit et Santé, Chargée d’enseignement à l’Institut Catholique de Paris
“Statut juridique des données de santé”
En néphrologie, et plus généralement dans le secteur médical, la valorisation des données devient un enjeu prégnant. Avec le développement des systèmes d’intelligence artificielle fonctionnant sur des techniques d’apprentissage automatique, la gestion des données médicales reste une priorité.
Afin d’optimiser leur activité, les néphrologues s’interrogent sur la valorisation de cette base de données historique. Le statut juridique de ces données devient alors important pour ces praticiens, qui ont besoin de connaître les règles leur permettant une exploitation licite de celles-ci. Ce cadre juridique sera présenté.
Pierre Legros
Doctorant contractuel Eur-LexSociété en Droit privé à l’Université Côte d’Azur
Pierre Legros
Doctorant contractuel Eur-LexSociété en Droit privé à l’Université Côte d’Azur
“Le cadre d’utilisation secondaire des données de santé issues des bases de données historiques”
La donnée de santé est aujourd’hui une donnée stratégique, tant du point de vue économique que du point de vue de la santé publique. Elle tire son intérêt, et donc sa valeur, non seulement de sa récolte massive, mais également de son exploitation optimale. Partant de ce constat, le secteur de la néphrologie est particulièrement intéressant dans la mesure où les bases de données historiques sont certes très riches, mais actuellement sous-exploitées.
La question centrale est donc celle de savoir comment le droit permet-il ou limite-t-il l’utilisation secondaire de ces bases de données aux fins de recherche ?
Anaïs Person
Université Paris Cité
Anaïs Person
Université Paris Cité
Les données de santé constituent un vivier d’informations et un véritable “asset” pour les acteurs du domaine. Leur valorisation et leur patrimonialisation est un sujet au cœur des discussions doctrinales depuis de nombreuses années. L’usage des nouvelles technologies de l’information et de la communication, le développement et la démocratisation de l’intelligence artificielle laissent-ils présager un bouleversement du cadre juridique actuel ?
Jehanne Dussert
Ministère de l’Intérieur, Paris
Jehanne Dussert
Ministère de l’Intérieur, Paris
Afin de représenter au mieux la société, les techniciens et techniciennes – développeurs/ses, data scientists – se doivent aujourd’hui de penser les outils qu’ils conçoivent sous un angle éthique et inclusif, tant en termes de données exploitées que d’algorithmes générés. Cette présentation aura pour but de détailler les enjeux qui en découlent ainsi que de fournir une boîte à outils susceptibles de réduire les biais algorithmiques.
Christian Jacquelinet
Agence de la Biomedecine, Saint-Denis
Christian Jacquelinet
Agence de la Biomedecine, Saint-Denis
“Evaluation des dispositifs médicaux numériques à base d’intelligence artificielle”
Christophe Ridel
NephroCare, Paris
Christophe Ridel
NephroCare, Paris
“Difficultés pour les néphrologues d’adopter un outil d’IA”
Les nouveaux outils d’intelligence artificiel (IA) s’invitent à présent dans notre quotidien médical. Ils apportent une aide au diagnostic, à la prédiction, et à la prescription. Le développement rapide de ces outils est parfois ressenti avec une certaine appréhension car ils changent notre manière de pratiquer notre art. Peut-on faire confiance à un système dont on ne connait pas le mécanisme de fonctionnement ?
L’ACM (Anemia Control Monitor) a été l’un des premiers outils d’IA de Deep Learning proposés aux néphrologues pour l’aide à la prescription de l’érythropoïétine (EPO) et du fer intraveineux pour les patients en hémodialyse depuis 2018 dans les centres de dialyse NephroCare en France. Les études publiées sur l’ACM ont confirmé sa bonne prédiction pour proposer une prescription conduisant à une hémoglobine dans la cible recommandée entre 10 et 12 g/dl.
Cependant, malgré la mise à disposition de l’ACM dans le logiciel de prescription EUCLID, il est peu utilisé, les raisons en sont multiples :
- Le souhait de continuer la prescription d’EPO et de fer comme avant
- Le sentiment de la perte du libre arbitre et d’être dépossédé d’un savoir médical
- L’absence de confiance dans un logiciel dont on ne connait pas la logique (« une boîte noire »)
- Des propositions de prescriptions par l’ACM qui sont parfois éloignées de celles des cliniciens, voir contre-intuitives
- Faire adhérer l’équipe d’infirmières et les patients à ces prescriptions
- Un manque d’ergonomie du logiciel, une phase d’apprentissage un peu longue
- Un outil trop neuf avec un manque d’accompagnement
L’ACM est un bon exemple des prochains challenges que nous aurons à remplir pour faire accepter les outils d’aide à la prescription en néphrologie. La simplification d’utilisation et l’accompagnement des équipes sont des éléments clefs de réussite.
Sophie Limou
CR2TI UMR 1064, iTHINK team, Nantes
Sophie Limou
CR2TI UMR 1064, iTHINK team, Nantes
“Redéfinition de l’histocompatibilité D-R au delà du HLA”
Vincent Mauduit
Nantes Université, CHU Nantes
Vincent Mauduit
Nantes Université, CHU Nantes
“Beyond D-R HLA histocompatibility: Genome-wide survival studies”
Marc Labriffe
Université de Limoges
Marc Labriffe
Université de Limoges
“Classification des formes de rejet du greffon rénal par apprentissage automatique à partir des lésions histologiques et du contexte clinique”
En transplantation rénale, la classification de Banff permet de poser les diagnostics des différents types de rejet (humoral, cellulaire, aigu ou chronique…). En pratique, elle est peu reproductible entre professionnels de santé. En effet, elle est difficile à appliquer car combine les scores de plusieurs lésions histologiques avec de nombreuses règles et exceptions (qui ne font pas toutes consensus).
En outre, certaines lésions élémentaires peuvent être difficiles à évaluer (informations manquantes). Enfin, le contexte clinique n’est pas officiellement pris en compte. C’est pour ces raisons que nous avons cherché à améliorer cette classification grâce à des outils automatisés de Machine Learning.
Dr. Labriffe et son équipe ont entraîné des modèles de gradient boosting à reproduire les diagnostics posés par un groupe d’experts, à partir des lésions élémentaires de Banff et de quelques données cliniques (créatininémie, protéinurie, temps depuis la transplantation). L’outil a alors été validé sur les données rétrospectives de plusieurs centaines de biopsies de trois centres de transplantation européens (Louvain, Hanovre et Paris Necker).
Vincent Vuiblet
I2AS, Reims
Vincent Vuiblet
I2AS, Reims
“Apport des réseaux de convolution dans l’analyse des images”
Membre du comité scientifique.
Chirine Parsaï
Polyclinique les Fleurs, Ollioules
Chirine Parsaï
Polyclinique les Fleurs, Ollioules
“IA au quotidien en cardiologie (IRM et échographie)”
Camelia Radulescu
Hôpital Foch, Paris
Camelia Radulescu
Hôpital Foch, Paris
Depuis 14 ans dans le domaine de l’uro-pathologie et depuis 11 ans à l’Hôpital Foch, elle travaille avec la start-up VitaDX qui a mis au point une solution de lecture automatisée des cytologies urinaires. Cette solution visera l’augmentation des performances diagnostiques des cyto-pathologistes surtout pour les tumeurs de bas grade, la réduction du temps de lecture des lames et surtout permettre aux patients de ne pas subir une cystoscopie si le risque de tumeur est très faible.
Irène Mappe-Fogaing
IIAS, Reims
Irène Mappe-Fogaing
IIAS, Reims
“Aide au diagnostic de rejet aigu humoral par IA en transplantation rénale”
Seydou Kane
IIAS, BioSpect – URCA Reims
Seydou Kane
IIAS, BioSpect – URCA Reims
“Apport de l’IA pour la recherche fondamentale en néphropathologie : Application à la
spectroscopie vibrationnelle”
Nicolas Martelin
Prostperia, Nancy
Nicolas Martelin
Prostperia, Nancy
“Des algorithmes financiers au dépistage du cancer de la prostate : L’intelligence artificielle au service de la transdisciplinarité”
Les technologies d’intelligence artificielle (IA) peuvent avoir des champs d’application très variés.
Ainsi, des algorithmes initialement conçus pour détecter des bulles spéculatives sur les marchés financiers permettent aujourd’hui un meilleur dépistage de masse du cancer de la prostate.
Les opportunités et limites de la transdisciplinarité de l’IA seront présentées.
Bernard Canaud
Université de Montpellier
Bernard Canaud
Université de Montpellier
“Digital et intelligence artificielle : Les bases de la dialyse de précision de demain”
La dialyse est un écosystème de santé très particulier, qui prodigue des soins complexes chez des patients fragiles, fait appel à des méthodes hautement techniques, requiert un ensemble d’informations provenant de sources multiples, génèrent une masse de données sans cesse croissante et représente un coût significatif pour la société.
Cet ensemble de faits mis bout à bout suffit à comprendre que seul l’apport des nouvelles technologies digitales et de l’intelligence artificielle sera capable de résoudre cette équation multifactorielle et d’apporter une dialyse de précision aux patients rénaux.
Dans cette présentation, la dialyse de précision sera utilisée comme exemple de cible thérapeutique permise par l’utilisation d’outils digitaux, d’intelligence artificielle et d’analyse avancée des mégadonnées. L’existant et le futur seront discutés. Les outils et les voies visant à optimiser l’efficacité et la tolérabilité des séances de dialyse, mais aussi à choisir ou à adapter les modalités de suppléance aux besoins et au profil des patients, et enfin à explorer le potentiel des nouveaux outils numériques connectés seront illustrés par des exemples concrets.
La néphrologie et la dialyse sont à l’aube d’un changement profond de paradigme thérapeutique. Les outils digitaux, l’intelligence artificielle et les technologies de l’information et de la communication vont devenir les supports décisionnels et thérapeutiques indispensables de demain. Les néphrologues et les soignants doivent s’approprier ces outils pour améliorer les résultats thérapeutiques. Cela sera illustré dans cette présentation.
Arthur Le Gall
CHU de Rennes
Arthur Le Gall
CHU de Rennes
“Monitorage hémodynamique augmenté par un modèle biomécanique de cœur et vaisseaux patient-spécifique”
L’évaluation hémodynamique des patients sous anesthésie générale est une tâche complexe pour les médecins anesthésistes et/ou réanimateurs. Puisque les techniques de monitorage sont imprécises et/ou invasives, il est nécessaire de prendre en compte la balance entre leur utilité, et leur invasivité et/ou leur imprécision.
Les méthodes numériques peuvent représenter une alternative en améliorant ce rapport bénéfice/risque pour le patient. En particulier, la modélisation biomécanique de cœur et vaisseaux, une fois calibrée sur les données mesurées au bloc opératoire peuvent permettre de simuler, entre-autres, un cathétérisme cardiaque gauche.
Dr. Le Galle et son équipe ont ainsi pu analyser le profil hémodynamique de 45 patients sous anesthésie générale, et interpréter les effets de la Noradrénaline administrée pour corriger une hypotension artérielle chez 16 patients, en termes de bioénergétique cardiaque, et de couplage ventriculo- aortique, à partir de boucles pression-volume ventriculaires simulée.
Stanislas Faguer
CHU de Toulouse INSERM UMR 1297, Université Paul Sabatier, Toulouse
Stanislas Faguer
CHU de Toulouse INSERM UMR 1297, Université Paul Sabatier, Toulouse
“Place de l’IA dans la prédiction du risque d’insuffisance rénale aiguë post-opératoire”
Salah Boussen
AP-HM, Marseille
Salah Boussen
AP-HM, Marseille
“Développement d’outils et de prédictions utilisant l’intelligence Artificielle en Réanimation-Triage-Scoring et Surveillance des patients”
Au cours de cette présentation, Dr. Boussen abordera la mise au point d’outils utilisant l’IA pour trier les patients, évaluer leur sévérité et prédire leur évolution (survenue de Fièvre, ou prédiction de mortalité) dans le cadre des soins critiques.
Elisa Canzani
AI Architect, Nipro, Belgique
Elisa Canzani
AI Architect, Nipro, Belgique
Modératrice de la session 3 “Exploiter les DATA et Utiliser les outils”.
Membre du comité scientifique.
Corinne Isnard-Bagnis
AP-HP, Sorbonne Université, Paris
Corinne Isnard-Bagnis
AP-HP, Sorbonne Université, Paris
Dr. Isnard-Bagnis présentera les notes de conclusion de la conférence.
Membre du comité scientifique.
Théo Jolivet
AP-HP, Paris
Théo Jolivet
AP-HP, Paris
“Extraction des données à partir des dossiers médicaux de l’APHP”
Maryvonne Hourmant
CHU de Nantes – Hôtel Dieu, Nantes
Maryvonne Hourmant
CHU de Nantes – Hôtel Dieu, Nantes
Modératrice de la Session 1: Néphrologie Froide – Où en est-on en 2023?
Membre du comité scientifique.
Olivier Aubert
Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris
Olivier Aubert
Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris
Membre du comité scientifique
Moranne Olivier
IDESP, Hopital Universitaire de Nimes
Moranne Olivier
IDESP, Hopital Universitaire de Nimes
Modérateur de la table ronde.
David Attaf
Fresenius Medical Care, Paris
David Attaf
Fresenius Medical Care, Paris
“Outils de dépistage des sténoses de fistule artério-veineuse et intelligence artificielle : Mythe ou réalité ?”
Membre du comité scientifique.
Jean René Larue
Centre de Néphrologie Les Fleurs
Jean René Larue
Centre de Néphrologie Les Fleurs
Introduction de la Conférence
Président de l’IA & Néphrologie 2023
Marvin Edeas
Université de Paris, Institut Cochin – INSERM 1016
Marvin Edeas
Université de Paris, Institut Cochin – INSERM 1016
Introduction de la Conférence.
Président de l’IA & Néphrologie 2023
Solen Quiniou
Université de Nantes
Solen Quiniou
Université de Nantes
“Traitement automatique des langues naturelles et perspectives en santé”
Dr. Quiniou présentera un court panorama du traitement automatique des langues naturelles, et notamment des dernières avancées dans ce domaine depuis ces 5 dernières années. Elle se focalisera plus particulièrement sur les derniers modèles de langue disponibles, en particulier ceux utilisés dans des applications en santé.
Thomas Petit-Jean
Data Scientist, Direction des Services Numériques, AP-HP, Paris
Thomas Petit-Jean
Data Scientist, Direction des Services Numériques, AP-HP, Paris
Les documents cliniques constituent une source précieuse d’information, à condition de disposer d’outils adaptés à son extraction. Les avancés récentes dans le domaine du TAL ont favorisé l’émergence de tels outils de plus en plus performants. Nous présentons le développement et la validation d’un algorithme d’extraction et de qualification d’entités appliqué à la recherche des comorbidités du score Charslon.